L’heure est à la fête chez Untranslate ! Début mai, la société a passé haut la main un double audit et est ainsi le premier bureau de traduction du Benelux à obtenir la certification ISO pour la post-édition de traduction automatique de Kiwa, un organisme de certification néerlandais de premier plan.
Comme la traduction n’est pas une profession protégée, n’importe qui peut en principe se présenter comme bureau de traduction. Mais en tant que client, comment pouvez-vous alors savoir si vous pouvez vous attendre à un service de qualité ? Le respect de la norme ISO 17100 est une bonne indication : cette certification peut uniquement être obtenue si le bureau de traduction travaille exclusivement avec des traducteurs professionnels qui traduisent vers leur langue maternelle et qui disposent des connaissances, de l’expérience et de la formation nécessaires. Le bureau de traduction doit en outre veiller à ce que les traductions font l’objet des vérifications nécessaires, que les chefs de projet suivent les procédures adéquates et que toutes les informations relatives au projet sont enregistrées. Untranslate avait déjà obtenu la certification ISO 17100 en 2016, mais cette année encore, elle a su convaincre l’organisme de certification Kiwa de ses qualités.
Untranslate propose non seulement des traductions « artisanales », mais aussi des traductions automatiques post-éditées. Le moment nous a donc paru idéalement choisi pour doter également Untranslate de la certification ISO 18587, le label de qualité pour la post-édition de textes résultant d’une traduction automatique. Avec ce label de qualité, nous garantissons notamment l’application d’un processus de (post-)production optimal dans le cadre d’une infrastructure de traduction intégrée et l’intervention de post-éditeurs avec les compétences adéquates pour un résultat de qualité.
Lors du processus de production, l’intelligibilité de la traduction est prioritaire, comme la cohérence et l’exactitude des informations. À cet égard, il est important d’utiliser la langue standard et une mise en page appropriée, mais aussi de respecter scrupuleusement les instructions stylistiques et terminologiques convenues avec le client. Le post-éditeur prend le texte source comme référence absolue pour vérifier si des ajustements s’imposent et les appliquer le cas échéant. Il se charge de la traduction définitive en adaptant la traduction automatique ou en la retravaillant totalement si nécessaire. Il est essentiel que le post-éditeur soit un traducteur professionnel formé aux outils TAO et à la traduction automatique. Les compétences attendues de lui se situent à plusieurs niveaux : expertise linguistique et textuelle tant dans la langue source que dans la langue cible, aptitudes de recherche et connaissances culturelles, techniques et spécifiques au domaine à traduire. La collaboration avec ces profils professionnels est indispensable pour garantir la qualité. En outre, lors du processus de post-production, des correcteurs interviennent pour vérifier la qualité de la traduction en tenant compte du feed-back de l’ensemble du processus en vue d’améliorer l’output de la traduction automatique à l’avenir. Un avantage majeur de cette approche est sa rapidité, qui diminue d’autant les coûts de production.
Lisez ici le communiqué de presse diffusé par Kiwa.