Untranslate a le vent en poupe – et pour célébrer cette belle évolution professionnelle, elle s’est offert un week-end riche en expériences. Animée d’un désir d’aventure iodée, l’équipe est partie à la conquête de la mer pour en récolter les bienfaits. Embruns et buffet salés, bateau et boissons à flot(s), et surtout franche camaraderie, personne n’est resté en rade.
Mais avant de prendre le large, rendez-vous au Bistro Colombus pour y déguster un dîner bien de chez nous – le doré des frites et la douceur du houblon nous donnent le cran d’un vieux loup de mer pour larguer les amarres du lendemain, et nous échangeons quelques premières anecdotes de linguistes dont seul notre beau métier a le secret.
Une fois repus, direction le bateau, qui tangue indolemment sur les discrets remous de la mer. Nous en prenons possession alors que le soleil couche ses rayons d’une brillance orangée sur la forêt de mâts qui nous entoure. S’ouvre alors une soirée d’échanges, de rires et de musique, à laquelle ne manquent que quelques chants pirates, le cancan d’un perroquet et le claquement d’une jambe de bois.
Le lendemain, tout le monde sur le pont à huit heures pour un café et des croissants dans la température encore suave d’une journée qui s’annonce caniculaire. Un véritable briefing nautique de la part de notre capitaine nous apprend les ficelles des cordages. Quelques exercices pour faire bouger les voiles, gilets et consignes de sécurité qui ne sont franchement pas la mer à boire, et à dix heures, nous mettons les voiles. À nous le grand large !
Pour naviguer dans les règles de l’art, la communication et la précision sont autant de mise que pour donner naissance à une création linguistique de qualité. Et cette échappée navale n’aura pas manqué de nous l’illustrer ; alors si vous êtes à la recherche d’un équipage capable de faire voguer vos mots et de louvoyer entre les mistrals du marché, ne l’écumez plus ! Car sans vous mener en bateau, Untranslate saura toujours tenir le cap de sa virtuosité linguistique. Ahoy !